Emission enregistrée en direct le mardi 12 décembre 2023, entre la publication de la partie 5 et de la partie 6 de ma série sur les terroristes et complices des attentats du 13 novembre 2015. 195ème du Rond Point 2.0, émission animée par « Betty », rescapée du Bataclan et Gilet jaune. Sujet : les attentats du 13 novembre 2015 : approche géopolitique, reconstitution des événements, parcours des zones d’ombre, ordres de non intervention, persécution de policiers d’en haut et d’en bas, impunité et promotion des incapables et/ou facilitateurs de la tuerie, commission d’enquête parlementaire, procès, bibliographie…
Entretien ERFM sur le massacre de Charlie Hebdo
Vendredi 4 février 2022, j’étais interviouvé, dans le cadre de l’émission « Pourquoi tant de haine ? », par Monsieur K sur les ondes d’ERFM, la web radio du site Egalité et Réconciliation, association fondée et dirigée par Alain Soral, aujourd’hui réfugié en Suisse, à propos de mon ouvrage sur « le massacre de Charlie Hebdo, l’enquête impossible », publié en juillet 2021 aux éditions le Retour aux sources. A la différence des entretiens précédents (1, 2), dans celui-ci nous explorons plus systématiquement la piste de l’opération sous faux-drapeau, qui le temps passant, il faut bien le dire, apparaît comme une évidence de plus en plus écrasante, que l’on analyse la tuerie sous l’angle du « laisser faire » ou du « faire soi-même ».
Continuer la lecture de « Entretien ERFM sur le massacre de Charlie Hebdo »F. Belliot : interviou par « des paluches et des bouquins »
Dimanche 2 janvier 2022, j’étais interviouvé par Alexis, créateur de l’émission « des paluches et des bouquins, à propos de mon ouvrage consacré au massacre de Charlie Hebdo publié en juillet 2021 aux éditions le retour aux sources.
Interviou par Des paluches et des bouquins
Le 4 janvier 2022, j’étais interviouvé par « Des paluches et des bouquins », à propos de mon ouvrage sur Le massacre de Charlie Hebdo, l’enquête impossible.
La destruction de Bernard Petit, patron du 36 quai des Orfèvres
Alors qu’il n’existe aucun cas de haut fonctionnaire ayant eu à rendre des comptes pour l’anticipation et la gestion au mieux calamiteuse, au pire coupable, d’événements sanglants comme le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo du 7 janvier 2015 ou les attentats du 13 novembre 2015 – la même remarque pourrait être faite pour la si mal nommée « crise sanitaire » dans laquelle nous nous enfonçons inexorablement depuis près de vingt mois comme dans des sables mouvants – le cas de Bernard Petit, l’ancien patron du 36 quai des Orfèvres – la Police Judiciaire de la Préfecture de Police de Paris –, nous donne l’occasion de montrer par un exemple éclatant qu’au besoin, les sanctions les plus lourdes peuvent être prises contre un fonctionnaire très haut placé, pour un prétexte dont le caractère décisif est loin d’être évident. Ce qu’on appelle le deux poids/deux mesures pour évoquer le gouffre qui s’approfondit jour après jour entre les élites et les simples citoyens, les premières toujours « responsables mais pas coupables », les seconds toujours « pas responsables mais coupables », peut se constater également dans les hautes sphères du pouvoir, dès lors que l’on dérange le dispositif ou grippe son fonctionnement, et il ne s’agit pas d’une question de compétence ou d’incompétence. Le régime républicain privilégiera toujours l’incompétent servile au compétent indépendant, couvrant le premier en toutes circonstances, quelles que soient ses casseroles, et détruisant le second sans pitié, aussi irréprochables soient ses états de service – la question de l’intérêt supérieur des Français et de leur sécurité, est-il besoin de le préciser, n’entrant jamais en ligne de compte. Nous avons rapporté dans notre ouvrage Le massacre de Charlie Hebdo, l’enquête impossible, le cas du patron du RAID Jean-Michel Fauvergue, limogé en 2017 pour le plus captieux des prétextes en plein état d’urgence terroriste, voyons maintenant celui de Bernard Petit, qui en tant que patron de la PJ de Paris coordonnait les enquêtes les attentats de janvier 2015, brutalement placé en garde-à-vue le 3 février 2015, aussitôt dégradé, limogé, humilié, et toujours en attente de son procès six ans après les faits.
Continuer la lecture de « La destruction de Bernard Petit, patron du 36 quai des Orfèvres »7+2+x=15 : l’équation interdite des attentats du 13 novembre (2/2)
3 septembre 2021 : diffusion sur Arte des Ombres du Bataclan, documentaire réalisé par Francis Gillery
Francis Gillery est un réalisateur de films documentaires depuis 1996, travaillant d’habitude pour France télévision, qui s’est déjà intéressé à des sujets sensibles, comme l’assassinat de Jean de Broglie le 24 décembre 1976 (( L’assassinat de Jean de Broglie, une affaire d’État, diffusé sur France 3, 2016 )) , la mort suspecte de Pierre Bérégovoy le 1er mai 1993 (( La double mort de Pierre Bérégovoy, France 3, 3 mai 2008 (avec Hubert Marty-Vrayance). Production : Cie des Phares et Balises – France3 )), l’assassinat du procureur Borrel à Djibouti en octobre 1995 (( La Légende du juge Borel, diffusé sur Arte le 17 octobre 2010, 90 min. Production : Cie des Phares et Balises – France3 )), la mort spectaculaire de Lady Diana à Paris le 31 août 1997 (( Diana et les fantômes de l’Alma, France 3, 25 août 2007, 90 min. Production : Artline Films – France 3 – RTBF – SBS-TV Australia )).
Les ombres du Bataclan consiste pour l’essentiel en une synthèse artistique des réactions et commentaires de la plupart des principaux protagonistes de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de 2015, mise en place en février 2016, à l’initiative du groupe Les Républicains et du député George Fenech, commission présidée par George Fenech et le député PS Sébastien Pietrasanta, qui a rendu ses conclusions en juillet 2016, dans un rapport en deux volumes dont la consultation peut s’avérer des plus instructives, comme nous avons pu nous en rendre compte dans la première partie, même si l’intéressant gît souvent dans ce qui n’est pas dit plutôt que dans ce qui est dit.
Continuer la lecture de « 7+2+x=15 : l’équation interdite des attentats du 13 novembre (2/2) »Un ouvrage anticomplotiste (AC) sur le massacre de Charlie Hebdo
Dans le cadre de la parution de mon ouvrage Le massacre de Charlie Hebdo : l’enquête impossible, aux éditions Le Retour aux Sources, je publie une série d’articles et études touchant au sujet de près ou de loin, que je n’ai pas jugé indispensable d’intégrer à un ensemble qui, le temps passant et le travail avançant, a pris des proportions que je n’imaginais pas au départ (360 pages). Dans ce premier addendum, je décortique l’un des premiers ouvrages de référence sur le massacre de Charlie Hebdo publié en janvier 2016 : Et soudain ils ne riaient plus. Il faut en effet savoir, qu’en plus d’une couverture médiatique frauduleuse, à tout le moins partiale, et d’une omerta politique pendant des années, l’opération d’enfumage a été complétée par toute une série d’ouvrages, dont les vices et lacunes sont trop criants pour ne pas éveiller la suspicion. Eu égard à l’ambition affichée par les quatre auteurs de ce livre, il m’a semblé légitime de ramener ce travail à ses justes proportions : une œuvre de propagande plus qu’une œuvre de nature historique au sens professionnel du terme.
Continuer la lecture de « Un ouvrage anticomplotiste (AC) sur le massacre de Charlie Hebdo »Octobre 2020 – l’été indien terroriste en France
Résumé : Cette étude passe au crible les trois attentats perpétrés à l’automne 2020 en France : le 25 septembre 2020, l’attaque au hachoir de deux employés de l’agence Premières Lignes devant les anciens locaux de Charlie Hebdo ; le 16 octobre 2020, la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine ; le 29 octobre 2020, le triple assassinat de la basilique Notre-Dame de Nice. Elle remet en perspective ces trois affaires sanglantes avec toutes celles du même type perpétrées de 2015 à 2019, après la longue parenthèse covidienne globalement respectée par les terroristes partout en Europe. Elle pointe l’hystérie médiatique et politique disproportionnée et l’instrumentalisation par le régime français de ces trois agressions, dans le contexte de l’ouverture, après cinq ans d’attente, du procès des attentats de janvier 2015 et la republication par Charlie Hebdo des caricatures de Mahomet, médiatisation outrancière bien utile pour faire oublier la catastrophe économique en cours et à venir, catastrophe aggravée par les mesures anti Covid de plus en plus délirantes, liberticides et antidémocratiques. Elle souligne enfin la duplicité du pouvoir, qui d’un côté prétend lutter de toutes ses forces contre la menace terroriste, et de l’autre laisse toutes les portes du pays grandes ouvertes aux aspirants jihadistes, en soutenant de fait ces derniers à l’extérieur, qu’il s’agisse d’Al Qaida en Syrie, ou d’Al Qaida au Yémen.
Continuer la lecture de « Octobre 2020 – l’été indien terroriste en France »L’activité de Daech en France de 2015 à 2019 (synthèse)
Cet article est la synthèse de la base de données détaillant 34 opérations attribuables à Daech en France de 2015 à 2019. Il analyse la transition brutale de la propagande anti terroriste à la propagande anti Covid 19. Il met en lumière ce qui fait le propre des opérations non revendiquées et des opérations revendiquées par Daech. Parmi les opérations revendiquées, il rappelle ou révèle toutes les anomalies et coïncidences que plus de la moitié de ces opérations comportent. Il fait enfin le bilan des dispositifs et lois antiterroristes mis en œuvre pour lutter contre la menace des attentats terroristes.
Continuer la lecture de « L’activité de Daech en France de 2015 à 2019 (synthèse) »L’activité de Daech en France (base de données)
Introduction
Ceci est une base de données concernant les meurtres et exactions attribuables à des « combattants de l’EI (alias Daech) » en France entre le 25 mai 2013, date d’une tentative de meurtre au couteau à la Défense, et le 3 octobre 2019, date de l’assassinat de quatre fonctionnaires de police à la préfecture de police de Paris. En tout une trentaine affaires sont passées en revue.
Elles sont réparties, grosso modo, dans la période correspondant à l’expansion foudroyante de l’organisation EI en Irak et en Syrie à partir de juin 2014, jusqu’à son éradication officielle fin mars 2019.
Cette liste comprend à la fois les nombreuses affaires attribuées, à tort ou à raison, à des « loups solitaires » prétendument pilotés par Daech, et celles plus rares impliquant de nombreux participants, et une logistique incomparable, au premier chef la tuerie de Charlie Hebdo du 9 janvier 2015 et les attentats du 13 novembre 2015. Disons-le d’emblée, si ces deux énormes affaires paraissent s’inscrire dans un continuum, elles représentent des singularités sui generis.
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